J’ai survécu et je vis.
Vis !
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Personne ne peut frapper aussi dur comme le fait la vie, ni moi ni toi.
Ainsi en allant vers l‘avant, ce qui compte n’est pas comment tu frappes mais comment tu résistes.
Et si tu finis au tapis, tu as la force de te relever. Et ainsi tu es un vainqueur.
Les grands moments dérivent de grandes opportunités.
C’est ton moment. Quoiqu’il arrive, continue à rêver.
Nous sommes dans l’enfer maintenant, nous pouvons y rester, nous faire gifler.
Ou,
Ouvrir le chemin en luttant vers la lumière.
On nous enlève tant de choses mais ça fait partie de la vie.
Sauf que tu l’apprends seulement quand tu commences à les perdre
Renoncer ou ne pas renoncer ?
Si tu as un rêve, tu dois le protèger,
Si tu veux quelque chose, vas-y et poursuis-la.
Ce sont les drôles de clichés de cette soirée de SeraseraPointOrg à l’espace Robespierre à Ivry (Paris) le 3 décembre dernier, une soirée sous le signe du fofollage et de la follatitude en masse, des clichés que j’ai glanés ici et là, dans les albums des uns et des autres.
Ils nous reflètent, ils reflètent nos jours, nos soirées et nos interminables nuits de rigolitude sur le net, soit sur serasera, soit sur facebook.
Tout le monde s’attendait sûrement à ce genre de scènes, cette soirée-là, et pourtant ces photos nous propulsent encore plus au-delà de toutes expectatives.
Merci aux Fahamarinana, Hery, Bodo, Ida, Etienne, Vahinala, zoky Beby, Rakaroka, Carson, Raozigasy, Lalatiana, Miora, Rasé, Hilarion, Caro, Sand, Tess, Ikotobekiko, Simjay, Sipagasy, Maeva, Ikala Blà, Zita, Voahangy, Tsiky ny Fiainana, Dina, Landy, Mimosa, Vale, Hari, Patrick, Jo, Pierre-Yves, Camille, Arialy et famille, ainsi qu’aux nouvelles connaissances.
Certains ont encore des dossiers ultra-con-fidentiels en main et attendront le moment opportun pour les sortir…eh bien, advienne que pourra, ils vont aussi grossir le rang de cet album – krkrkrkr.
attention, paparazzi à l’ oeuvre…
yeahhh, finalement le grand Vour….euh puisque on peut pas faire le J avec les doigts…
ben oui, le poids plume a toujours la chance hein
aza manao savaty moa fa marary ange azon’iny drigy iny e
dia faly sefo dia naka gitara mihitsy notendrena…
et puis il faut toujours que quelqu’un fasse un de ces exploits pour abimer les photos hihihi.
les Ladies in Black assurent bien
à fond dans l’ambiance… any zany !
malagasy e, vahoaka tsy resy eee, mafy beuh !!!!
c’était le hip-hop ici ou quoi ????
puis le moment de se les bouffer, ces gateaux…
et là, il faut se méfier des uns et des autres – hihihihih
dans le programme, il y a aussi l’échange de cadeau.
dia asa inona ny nampitokiky teo am-pizarana cadeau, lolll
Madame et ses cheveux de bouche.
oh yeahhhh..
azoko ihany enao annn, ary aza menamenatsa mouh fa tsy maninona ange ny ankizy e – hihihihihihihihi
fatiguées les miss ou un peu tristounettes car bientôt on va se séparer ?
En tout cas, ce fut une merveilleuse soirée où chacun excellait en sa matière : qui dansait, qui mangeait, qui buvait, qui animait, qui regardait le paysage, mais le point commun est qu’on excellait tous en rigolade.
ayant fait 1600 km, les Romains ont quand même le droit de faire les intéressants là derrière et sur les chaises, non?!!!
et comme disait PoPoTaing, le gateau on l’a eu et la cerise, la voici – hihihihi (et là je me méfie car c’est pas le seul dossier de la soirée, quelqu’un a encore un as en main quelque part dans son appareil…)
en réel comme en virtuel….
trotrotrotro-party miaraka amin’ny dj
et du bizourka miforeutaka beuh fa hisaraka kely indray…
Comme tout monument/vestige romain, la Tombe de Cecilia Metella a aussi sa colonie féline….et celui-ci en vaut la page d’un blog.
Il m’a vue et s’est prêté à une petite promenade avec moi – trôgnonnnnnnnnnn.
la tour de la Tombe de Cecilia Metella au fond.
on y va mimmi ?
quelle douce compagnie…
atàà, j’ai soif….
houlàà, une grosse soif, ouiii !
non l’ho capita veramente e in fondo veramente bene
Uno dei due sa farsi male l’altro meno
Quasi una negazione.
Io mi perdo nei dettagli, nei disordini, tu no
E temo il tuo passato e il mio passato, ma tu no
E’ così chiaro
Sembra difficile
La mia vita mi fa perdere il sonno sempre
Mi fa capire che è evidente la differenza tra me e te
Poi mi chiedi come sto
E il tuo sorriso spegne i tormenti e le domande
A stare bene, a stare male, a torturarmi a chiedermi perché
La differenza tra me e te
Tu come stai, bene, io come sto, boh… e…e te
Uno sorride di com’è, l’altro piange cosa non è
E penso sia un errore
Io ho due o tre certezze, una pinta e qualche amico
Tu hai molte domande, alcune pessime, lo dico… e te
Elementare…
Non volere andare via
La mia vita mi fa perdere il sonno sempre
Mi fa capire che è evidente la differenza tra me e te
Poi mi chiedi come sto
E il tuo sorriso spegne i tormenti
e le domande a stare bene, a stare male, a torturarmi, a chiedermi perché
E se la mia vita ogni tanto azzerasse
l’inutilità di queste insicurezze
non te lo direi
Ma se un bel giorno affacciandomi alla vita
tutta la tristezza fosse già finita, io verrei da te.
Poi mi chiedi come sto
E il tuo sorriso spegne i tormenti
e le domande a stare bene, a stare male, a torturarmi, a chiedermi perché
Perché la differenza tra me e te
Tu come stai, bene, io come sto, boh… e te…
Uno sorride di com’è, l’altro piange cosa non è
E penso sia bellissimo, penso sia bellissimo