“J’ai lu quelque part que nous parlons du coucher du soleil, mais que si nous pouvions nous situer assez haut dans le ciel, nous verrions que le soleil ne se couche jamais. Comme l’immensité de la vie… Chaque mort est un coucher de soleil. Dans l’espace et le temps, la vie continue.”
[Claude-Emmanuelle Yance]
Et après cette photo, mon appareil chargé à 40% s’est tout de suite éteint, comme si c’était battérie à plat…anomalie ou mauvais présage ? Cela juste au moment où l’on m’appelait pour me dire qu’il s’en est allé. Car rentrée et en allumant le téléphone, une fois chargé, je regardais l’heure du message : c’était à cette heure où l’on était prendre le café dans ce local à la mer à Ostia en ce dimanche 29 décembre.
Et du coup, mes pensées allaient à Fidèle et à Denise qui nous ont quitté – le 7 décembre 2016, le premier, et le 15 décembre 2012 la seconde.
Et comment ne pas repenser à nos jours heureux ensemble à l’époque où l’on nous surnommait “les Gangs”, moi, Soso, Fidèle, Rija, Mparany et Amédé. Et Denise, notre grande sœur et maman en même temps, chez qui, sur la Cassia, nous avons établi notre Quartier Général.
Que de bêtises ! Que de rigolades en ces débuts d’années 90′.
Et aussi dernièrement, cet été quand je dédiais un peu de mes temps pour aller supporter notre équipe de foot durant le Mondialido 2019. Mais qu’est-ce qu’on se marrait de lui, le Coach qui se la coule douce sur le terrain…et fume même !!!
Il est terrible, toujours pareil à lui même, rahlala.
Puis, le peu de fois où j’ai réussi à aller le voir à l’hopital il y a un mois, on s’est rassuré réciproquement de notre infaillible amitié malgré qu’on ne se voit plus très souvent.
Qu’est ce que ça me fait du bien en ce moment. Car rien ni personne n’est éternel.
Tous ces souvenirs qui me font sourire. Une baume pour mon cœur endolori.