Raha mbola misy blaogy azonao atoraka hamoahana feeling…nahoana no tsy izany no handanianao ny alin'ny ririnina !
Dec
02
ikalamako (2008)

Merci Kalaneny de me rassurer… Je m’achemine déjà vers cette direction (on va y passer tous, non !) sous bonnes auspices si je comprends bien le message, donc pas de panique !!!  hihihi

LES TEMPS DE SAGESSE

 

La vieillesse, c’est l’hiver, hélas, pour beaucoup de personnes. Mais pour les sags et les optimistes, c’est le temps heureux et fécond de la moisson

Aussi longtemps que l’on conserve ses facultés d’émerveillement, on retarde d’autant le vieillissement.

La vie toute entière d’un être humain dépend de deux ou trois « oui »  et de deux ou trois « non » prononcés entre seize et vingt-cinq ans.

La vieillesse arrive brusquement comme la neige. Un matin, au réveil on s’aperçoit que tout est blanc.

C’est en vieillissant qu’on apprend à rester jeune.

Si quelqu’un affirme qu’il est capable de faire à soixante ans tout ce qu’il faisait à vingt ans, c’est qu’il ne faisait pas grand-chose à cet âge-là.

La vieillesse embellit tout. Elle a l’effet d’un soleil couchant sur les beaux crépuscules de l’automne.

On se débarrasse généralement de ses défaut en vieillissant parce qu’ils ne servent plus à rien.

Il y a quatre grandes époques dans la vie d’un homme : celle où l’on croit au Père Noël ; celle où l’on ne croit plus au Père Noël ; celle où l’on est le Père Noël  et enfin celle où l’on ressemble de plus en plus au Père Noël.

Le bon coté des choses, aussi vieux que l’on puisse être, c’est qu’on est toujours plus jeune que l’on ne le sera jamais.

Celui qui déclare être trop vieux pour apprendre quelque chose l’a probablement toujours été.



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