Raha mbola misy blaogy azonao atoraka hamoahana feeling…nahoana no tsy izany no handanianao ny alin'ny ririnina !
Nov
12
ikalamako (2017) | Discussion (0)

Je me passerai de tant de détails, je voudrais juste faire des gros câlins à mes 3 gros minets (Pelosona n’est plus des nôtres depuis plus d’un an déja).  L’autre soir, j’ai tenté une grosse bêtise, mais je n’avais pas les munitions justes. Ainsi les balles blanches ont raté leurs coups… Mais vraiment rien, même pas un haut le cœur. Au contraire, elles me plaquaient tous les nerfs prêts à péter et m’ont envoyé à un sommeil béat – (rire…ironique). Bref.

Ainsi, vers 3h du mat’ sur le divan où je me suis allongée, je transpirais, j’avais eu très chaud. J’ouvre les yeux et je sentais un poids sur moi : quelquechose comme 13 kg – trois boules de poils, une sur ma poitrine, un sur mon ventre avec ses 7kg 600 et la troisième sur mes fesses.

En temps normal, ils essaient de se faufiler sous la couverture, ou derrière moi, ou à mes pieds, ou sur mon coussin. Monter sur moi c’est un jeu qu’ils me font, éveillés et par tour. Jamais ils dorment sur moi tous ensemble comme ça pendant toute la nuit.

J’ai chialé. Comme s’ils étaient en train de monter la garde, pour qu’il m’arrive aucun mal ; l’air de me dire : ne te barre pas comme ça, toi ! Et même pendant la journée qui suivait, personne sortait, ils me tenaient compagnie pendant que je continuais à broyer du noir.

Ils m’ont rechauffé le cœur avec leur poils d’amour, ces boules de bonheur.

 



Oct
18
ikalamako (2017) | Discussion (0)

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Apr
07
ikalamako (2017) | Discussion (0)

 

Fa nahoana anie ilay taniko niangaran-janahary,
Notefeny mba ho nosy tsy hitamban-tsisintany,
Nofenoiny vatosoa, nataony valan-javaboahary,
No, indrisy, toa tantely afa-drakotra izy any !

Mba ahoana hoy ny razana notendren-janahary,
Ho mpiandry sy mpikolo ireo soa sesehena,
Ka nomeny fahendrena sy finiavana hihary,
Raha mahita ireo taranaka tototra fitiavan-tena ?

 

ikalamako
6 aprily 2017.



Feb
03
ikalamako (2017) | Discussion (0)

Isan’ny hira mampangorintsina ahy izy ity,
…”poti-taratasy kely izay, nitantaranao ny fiainanao“…

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Dec
11
ikalamako (2016) | Discussion (0)

Depuis un bon bout de temps, j’ai muré mon coeur dans un béton armé. Je lui ai dit qu’ il est trop mou, qu’il doit apprendre à être insensible pour ne plus se faire mal, quelles que seraient les circonstances.
On s’est bien isolé, on était bien dans ce style de vie qui n’est pas le nôtre. On a appris l’indifférence. On a survécu.

Mais il a fallu que tu te barrais sans préavis pour que le naturel revienne au galop.
Le souvenir des 400 coups qu’on a fait ensemble à nos premières années à Rome remonte en surface,
tes expressions qui nous ont fait tant marrer ressortent de ma bouche,
nos fou rires font écho dans ma tête,
les engeulades de Dise et ta maman à chaque notre connerie résonnent dans mes oreilles et me font rire, tellement on était terribles.

Tant de souvenirs de notre bande de “gangs” ont rouvert spontanément ce maudit béton armé,
la situation en laquelle tu te retrouves m’a sorti de ma torpeur,
toi, l’ami de cette insouciante jeunesse ; toi, l’ami fidèle à une belle amitié depuis un quart de siècle ; toi, le frérot en ce monde loin du pays.

Ce mercredi là, ce mercredi 7 décembre à 7h 15 du soir,
ma main qui tenait la tienne pendant ces quelques 5 interminables minutes où je surveillais les chiffres sur la machine à ton chevet,
ma main qui tenait la tienne pendant ces quelques 5 interminables minutes tandis que ces chiffres dégringolaient inexorablement,
ma main qui tenait la tienne pendant ces quelques 5 interminables minutes… puis le silence. Plus aucun bruit de ta respiration artificielle, et les tracés sur la machine devenaient tout juste des traits horizontaux,

ma main qui tenait la tienne pendant ces quelques 5 interminables minutes, la sentais tu ? m’entendais-tu quand je râlais que ce n’est pas juste que tu te cassais comme ça sans crier gare ?

Ce n’est pas juste mais nous nous inclinons. La Faucheuse a gagné sur ton corps, mais non sur ton si bon coeur.
Ce n’est qu’un au revoir, any indray mitapô an !

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